Au cœur de l’effervescence culturelle québécoise, le 33e Festival international de jazz de Montréal a illuminé le Quartier des Spectacles, le transformant en un lieu de musique et de fête. Pendant dix jours exaltants, la Place des Arts s’est transformée en une scène colorée pour le festival, attirant une foule immense désireuse de s’imprégner des rythmes et des mélodies d’artistes internationaux de renom.
Une nuit mémorable au 33e Festival de jazz
À la tombée de la nuit, le festival s’est animé d’une lumière différente – la lueur des lumières de la scène contre le ciel nocturne, jetant un sort magique sur la Place des Arts. C’est là, au milieu de l’effervescence de milliers de mélomanes, que j’ai capturé l’essence du festival à travers mon objectif. Chaque cliché raconte une histoire unique de la soirée : des musiciens perdus dans leur art, des spectateurs qui se balancent sur les rythmes, et l’air de la nuit rempli de mélodies.
Un festival de concerts gratuits
L’un des aspects les plus remarquables du Festival de jazz de Montréal est son accessibilité!
Avec ses innombrables spectacles gratuits, le festival invite les novices comme les amateurs de jazz à découvrir la diversité des styles et des traditions qu’englobe le jazz. Cette approche démocratique de la musique permet à tous de profiter de la richesse du paysage sonore, qu’il s’agisse de séances de jazz spontanées ou de spectacles méticuleusement orchestrés.
Cette année, il était possible d’assister aux concerts de Norah Jones (payant), Chromeo, Coeur de Pirate (payant), Rufus Wainwright et bien d’autres.
Pour cette série de photos, je n’avais pas de trépied avec moi, car je venais juste de prendre en photo un concert auparavant. J’ai donc utilisé les hautes sensibilités offertes par le boitier Nikon D700, et pris une grande majorité des photos à main levée.
Certaines ont été prise en posant le boitier sur un mur ou un appui, me permettant d’utiliser des poses relativement longues (plus de 5 secondes).
Idéalement il aurait fallu utiliser un trépied, afin de ne pas trop monter dans les ISO et ainsi réduire la quantité de bruit numérique.
Peut être l’année prochaine!